Arrivée de la Joëlle à l'énorme sac

Publié le par Voyageur

Bel effort ! La TAM est arrivée pile à l'heure et au jour prévu ! Ainsi donc, Mlle Joelle est arrivée le 8 janvier à Iguacu (Brésil).

 

Avec son ENORME sac ! Je lui avais dis de ne rien prendre ayant tout, mais bien évidemment, en parfaite femme, elle a pris la moitié de sa maison. Je sens que ça va râler quand il s'agira de marcher un peu avec le sac. Ces femmes...

 

Après quelques bisous et discussions d'usage (je bise peu et je parle beaucoup), petite baignade dans la piscine de l'hostel, histoire de profiter de la chaleur du lieu, après avoir connu les froids  polaires européens. Et après cette petite pause méritoire, visite des splendides chutes d'Iguacu, du côté brésilien. Pour les photos,  revenez d'un an dans le blog, ou cherchez-en sur google ! (mais étant bon prince je vous en remets un léger rappel)

 

Lendemain, visite du barrage d'Itaipu, le plus grand du monde, à la frontière du Brésil et du Paraguay. Impressionnant ! Dans l'après-midi, récupération des bagages et en route pour Puerto Iguazu (Argentine). Et donc dégustation pour le premier soir d'une bonne viande rouge locale, et d'un excellent Malbec (santé !).

 

Le 10, visite des chutes du côtés Argentin. Avec petit tour en bateau sous les chutes, histoire de bien se rafraichir (car si je vous l'ai pas dit, il fait CHAUD, ici !). Et visite cette fois (je ne l'avais pas fait l'année dernière avec Diana), du parc aux oiseaux, que j'avais trouvé trop cher, et flairé l'attrape couillon. Le Réal ayant baissé, c'était tentant. Bien nous en a pris. Parc superbe, avec  des centaines d'oiseaux , dans des immenses volières, où l'on peut pénétrer. L'occasion d'admirer entre  autre des toucans quasi domestiques  à quelques centimètres.Ci-dessous, quelques images de coatis, cet animal fort sympa et fouineur, que l'on peu apercevoir facilement dans le parc des chutes côté argentin:

Jour suivant détente au bord de la piscine, histoire que dame Joëlle puisse respirer un peu. Important, les pauses. Car on a vite tendance a oublier que le voyageur n'a pas de vacances ni de week-end ! Et que la chaleur est parfois pénible. Le bienheureux travailleur ne rend pas compte de la belle vie qu'il a !

 

Publié dans Brésil

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